Artùs + Cocanha + Super Parquet

Date / Heure
samedi 01 février 2020
20 h 30

Emplacement
La Maison du Peuple
Place de la Liberté
63000 Clermont-Ferrand



Les trois célèbres groupes du label Pagans sortent leur nouvel album l’occasion de les inviter au « Bal Barré #3 » qui se tiendra cette année à l’Electik Palace, dans le cadre des soirées du Festival du Court-Métrage.
Artùs : Alexis Toussaint (batterie) – Pairbon (Roman Colautti) (guitare baryton) – Roman Baudoin (vielle alto) – Matèu Baudoin (chant, violon, tambourin à cordes) – Tomàs Baudoin (chant, boha, tambourin à cordes, synthétiseur) – Shape2 (Nicolas Godin) (percussions et traitements sonores).
Après treize années à fouiller sa mémoire à la recherche de souvenirs qu’il n’a pas connu, Artùs crée son folklore en s’émancipant des dogmes de la tradition, en dépassant l’héritage qu’il a reçu. Métissé, créolisé, il a remis en cause sa pratique pour obtenir une vision universelle du monde à travers l’ultralocal. Radical, brut et indomptable, Artús ne cherche rien, n’attend rien, il s’impose et existe dans l’uniformisation actuelle. Artús puise son énergie rock dans la culture tribale gasconne. Sa musique est à la fois enracinée et en mouvement vers les ailleurs qu’elle explore.

Cocanha : Maud Herrera, Caroline Dufau, Lila Fraysse : voix et percussions (tambourin à cordes, caxixis, mains, pieds)

Trois voix, ancrées, timbrées, touchantes, aux percussions sonnantes et trébuchantes. Avec Toulouse comme point de rencontre, le trio chante haut et fort cette langue occitane du quotidien, véritable terrain de jeu vocal. Mains et pieds claquent les rythmes de la danse. Les tambourins à cordes pyrénéens installent le bourdon percussif, brut et enveloppant, apportant au chant une pulsation vitale. Forte de son ancrage, Cocanha chante une musique indigène dans la continuité de la création populaire.

 

Super Parquet : Julien Baratay (Machines et bourdons électriques, voix) / Simon Drouhin (Machins et bourdons électriques, voix) / Louis Jacques (Cabrette électrique, voix) / Antoine Cognet (Banjo fou électrique, voix).
Musique traditionnelle électrique. Voilà qui résume assez bien la musique de ces quatre garçons. Une musique un peu sauvage, animale, où la cornemuse emblématique de l’Auvergne vient flirter avec les sons synthétiques des machines, alors que le banjo s’énerve, s’électrise, s’enflamme.
C’est prenant,  planant, ça  chatouille les tympans, ça “gratte le cerveau à la petite cuillère électrique”.
Co-org & rens : La Coopérative de Mai – www.lacoope.org – 04 73 144 800 – L’AMTA – L’Autre-Parleur – www.lautreparleur.com – 06 63 85 94 40

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